UFC-QUE CHOISIR MEUDON-ISSY-VANVES-MALAKOFF

FOIRE DE PARIS – PAS DE RÉTRACTATION !

FOIRES ET SALONS « Nous ne sommes pas des pigeons ! »

L’UFC Que CHOISIR, comme l’année dernière met à votre disposition des conseils sous forme de KIT Avant et KIT Après, dont les liens ci-dessous.
Lisez bien avant de vous y rendre et Attention : Pas de délai de Rétractation

Livret_AvantlaFoire_Avril2018

Livret_AprèslaFoire_Avril2018

Bonne Foire à vous tous !

25 avril 2018

NOS ASSEMBLÉES GÉNÉRALES 2018

Cette année, à notre Assemblée Générale Ordinaire, s’est ajouté une Assemblée Extraordinaire.
En effet, nous avons procédé à la mise en harmonie de nos STATUTS avec les STATUTS Fédéraux  afin que les 146 associations locales aient les mêmes bases pour l’équilibre de notre Mouvement national.

Elles se sont tenues le 17 mars dernier. Nous avons pu accueillir nos adhérents au Complexe René Leduc à Meudon.

Notre Président a expliqué les missions principales de notre Fédération Nationale qui acte pour la défense des Consommateurs, accompagnée des 146 Associations locales telles que la nôtre sur toute la France.

Nous avons décrit nos actions : enquêtes – permanences litiges – édition de notre bulletin à nos adhérents – nos représentations dans les services publics – tenue de notre Fichier adhérents dont 383 ayant versé leur cotisation au 31/12/2017 et avons défini nos projets pour l’année en cours.

Cette manifestation est toujours un lieu de rencontres très agréables qui nous donne la possibilité de se connaître, de connaître vos souhaits et suggestions et de partager le verre de l’amitié.

Nous recevons beaucoup de pouvoirs de représentation mais notre grand regret est de ne pas être plus nombreux à échanger sur place.

16 avril 2018

VOTRE ATTENTION SVP !

 

Les RONGEURS !

 

Notre Adhérent a acheté une Mégane RENAULT le 10 mai 2017 qui, le 15 janvier 2018, s’est faite « manger » par des rongeurs !

En effet, il subit une première fuite à la durite de liquide de refroidissement (coupure). Elle serait due à ces derniers car l’amidon de maïs, entre dans la composition des tuyauteries. Le garage lui a fait régler la somme de 211,62 €.

Mon véhicule Renault Mégane est à nouveau tombé en panne le mardi 6 Avril dernier pour la deuxième fois en 3 mois.

Je viens d’avoir au téléphone l’atelier mécanique d’un autre garage RENAULT  qui m’informe qu’il s’agit de la durite du liquide de refroidissement qui est percée. Le devis est d’environ 205,00 € !

Il s’agit donc de la même durite que celle changée en janvier dernier !

Cette dernière étant neuve et composée de matières recyclables a visiblement attiré les rongeurs disent les deux garages RENAULT.

Et le Service Consommateurs affirme pourtant qu’il n’y a pas d’amidon de maïs dans la fabrication, mais fait savoir que :  « les dommages occasionnés par les rongeurs sur les faisceaux situés dans les compartiments moteurs sont connus par l’ensemble des constructeurs  en ce qui concerne les rongeurs» (contradictoire) mais se gardent bien de le signaler au moment de l’achat !

Le Service consommateurs écrit aussi :

« le produit automobile n’est nullement mis en cause car ce ne sont pas les véhicules qui les attirent mais ce sont les voitures laissées à proximité des rongeurs qui subissent leur présence »  Cocasse !

Mon véhicule est généralement stationné sur la voie publique, nous affirme notre adhérent.

Et vous ? Avez vous été victimes de ce genre de nuisances ?

Nous récoltons vos témoignages.

Merci de nous les transmettre sur :

contact@meudon.ufquechoisir.fr

 

13 avril 2018

ENQUÊTE EN PHARMACIES

Le conseil et la concurrence en souffrance sur l’automédication

Publié le 21 mars 2018

Alors que le prix des médicaments non remboursables a encore augmenté de 29 % sur la dernière décennie, l’UFC-Que Choisir rend publics aujourd’hui les résultats exclusifs de son enquête « patient-mystère » en pharmacies. La visite de 772 officines dans 16 agglomérations1) met en évidence une transparence de l’information largement insuffisante, des écarts de prix très marqués pour un même médicament et, plus grave encore, un conseil hasardeux. L’association appelle donc les pouvoirs publics à interdire la publicité sur l’automédication, et à élargir sa distribution aux parapharmacies et grandes surfaces, sous le contrôle permanent d’un pharmacien.

Conseil en automédication : peut largement mieux faire
Le scénario de notre enquête était le suivant : les enquêteurs de nos associations locales se présentaient incognito et sans ordonnance en pharmacie, et expliquaient être enrhumés. Ils demandaient alors à acheter pour eux-mêmes deux médicaments, qu’il est déconseillé d’associer car ils contiennent la même molécule (paracétamol) : du Doliprane 1000 mg et de l’Actifed Rhume Jour et Nuit. Dans 86 % des cas, nous avons bien été mis en garde sur les dangers de cette association. Mais alors que la dose maximale en automédication est de 3 grammes de paracétamol par jour, 54 % des pharmacies ont conseillé une dose supérieure. Pire, dans 24 % des cas, le conseil donné pouvait aboutir à prendre au-delà de 4 grammes par jour, un niveau dangereux pour la santé.

Prix : l’opacité entretenue facilite le grand écart tarifaire
Si la visibilité des tarifs est bonne dans plus de 8 pharmacies visitées sur 10, il n’en est pas de même pour l’affichage obligatoire informant les clients que le prix des médicaments non remboursables varie d’une officine à l’autre. Nos enquêteurs n’ont trouvé que 10 % d’officines conformes à la réglementation sur cet aspect. Comment s’étonner de ce peu d’allant à informer les consommateurs, alors que nous avons pu acheter un même médicament courant (Actifed Rhume Jour et Nuit) à un prix variant de 2,99 € à 9,10 € (prix moyen de 5,71 €) selon la pharmacie, soit un écart de plus de 200 % ? Au sein de chaque agglomération enquêtée, pour des officines proches, les écarts de tarifs peuvent atteindre 4,50 € sur l’Actifed.

Libéralisation encadrée de l’automédication : 250 millions d’euros de gain annuel pour les usagers
Les Français ont consacré l’année dernière 2,24 milliards d’euros à leurs achats d’automédication, soit 14 % de leurs dépenses directes de santé. L’enjeu concurrentiel est donc majeur, comme le confirme notre enquête de terrain. Dès lors, il est urgent que le gouvernement entende notre appel, porté également par l’Autorité de la Concurrence et la Cour des Comptes, pour une libéralisation encadrée de l’automédication. L’étude d’impact que nous publions montre qu’en autorisant la vente des médicaments sans ordonnance en parapharmacies et dans des espaces dédiés des grandes surfaces, en présence permanente d’un pharmacien, cette mesure permettrait un gain annuel pour les consommateurs de 252 millions d’euros. 

Dans le même temps, la santé financière des officines, loin des discours syndicaux alarmistes, est jugée bonne et en amélioration tant par les inspections générales des finances et des affaires sociales que par la Cour des comptes. Elle ne serait que marginalement affectée par la mesure (baisse de 5 % seulement de leur excédent brut d’exploitation), et les pharmacies rurales seraient préservées. L’exemple italien prouve en outre que la mesure n’entraîne pas de surconsommation de médicaments.

Au vu des résultats de son enquête, et soucieuse de promouvoir une automédication sûre et accessible à tous, l’UFC-Que Choisir demande au gouvernement :
–    l’interdiction de la publicité sur l’automédication auprès du grand public ;
–    la présence d’un encadré spécifique sur l’emballage des médicaments sans ordonnance, pour informer le consommateur sur les principales interactions et contre-indications ;
–    l’ouverture de la distribution de l’automédication aux grandes surfaces et
1_ parapharmacies, sous la surveillance impérative d’un pharmacien.

1) Enquête menée les 23 et 24 novembre 2017 dans 772 pharmacies des villes suivantes et de leurs couronnes : Bordeaux, Brest, Caen, Chambéry, La Rochelle, Le Mans, Le Puy en Velay, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Mulhouse, Nantes, Paris, Reims et Strasbourg.

8 avril 2018

CONTRATS CHEZ SFR LES CLAUSES ABUSIVES :

L’UFCQue Choisir fait annuler une myriade de clauses de SFR

Publié le 3 avril 2018 par Corentin COPPENS

Alors que la société SFR fait toujours l’objet de nombreuses plaintes de consommateurs, l’UFC-Que Choisir se félicite de l’arrêt (susceptible de recours) de la Cour d’appel de Paris sanctionnant encore plus lourdement qu’en première instance, à son initiative, SFR pour clauses illicites et abusives. SFR est notamment condamnée à verser à l’association 30000 euros au titre des dommages et intérêts.

Après avoir obtenu la condamnation de SFR en première instance pour une vingtaine de clauses abusives/illicites, l’UFC-Que Choisir voit sa satisfaction renforcée en appel en raison de l’ampleur encore plus grande des clauses épinglées et de la sanction prononcée. La Cour, dans cette décision importante, vient en effet fermement rappeler aux professionnels qu’il ne leur sert plus à rien de modifier leurs contrats en cours d’instance afin d’échapper aux radars de la justice ! Grâce à l’action de l’association, les clients de l’opérateur, n’auront plus à subir de clauses limitant leurs droits, la décision s’appliquant aux contrats en cours.

Contrat illisible : l’intégralité des conditions générales d’abonnement aux particuliers frappée d’illicéité !

Partageant le constat de l’association que la très faible taille de la police retenue dans les conditions générales d’abonnement (moins de 3 mm) rendait quasiment impossible leur lecture et empêchait le consommateur de prendre effectivement connaissance des conditions au moment de la conclusion du contrat, la Cour d’appel a, aussi légitimement que sévèrement, sanctionné l’opérateur en déclarant illicite l’ensemble des 9 versions des conditions générales d’abonnement et d’utilisation1. Cette sanction doit inviter les opérateurs à mieux étudier la lisibilité de la typographie retenue pour leurs contrats.

Encore plus de clauses épinglées comme abusives

Sur le fond, la Cour a confirmé le jugement de première instance soulignant que l’opérateur ne saurait s’exonérer de ses obligations légales et réglementaires s’agissant de la qualité et de la continuité de service, ainsi que du droit de résiliation de ses abonnés. La clause par laquelle il entendait s’autoriser 10 % d’échec des appels, des transmissions de SMS ou de données sur son réseau, sans que sa responsabilité ne puisse être recherchée, a été censurée tout comme le refus de s’engager sur des débits minimaux ou à indemniser intégralement ses utilisateurs en cas d’interruption de service. Mais au-delà de la vingtaine de clauses déjà épinglées en première instance, la Cour en a déclaré 3 supplémentaires comme abusives, notamment celle prévoyant des frais supplémentaires en cas de changement de mode de paiement.

1) De janvier 2012, avril 2012, septembre 2012, juin 2013, novembre 2013, septembre 2014 et janvier 2015 ainsi que l’ensemble des conditions générales de vente de juin 2013 et juin 2014.

 

8 avril 2018